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 Principaux appareils de combat Japonais lors de la seconde guerre mondiale

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Droopy
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MessageSujet: Principaux appareils de combat Japonais lors de la seconde guerre mondiale   Principaux appareils de combat Japonais lors de la seconde guerre mondiale EmptyMer 6 Juil - 18:05



En 1940, l'aviation japonais est une aviation de seconde zone constituée de copie d'appareil européen. C'est du moins ce que considère les anglo-saxon. Ils paieront cher cette erreur. Ce qui était vrai jusqu'au début des années 30. Mais, les Japonais ont fait des efforts considérables dans les années 30 et en 1940, les appareils japonais sont excellents et leurs pilotes font partis des meilleurs. Les puissances européennes et les USA vont durement découvrir un adversaire tenace et particulièrement dangereux.
Si l'aviation japonaise est dangereuse, elle a aussi de nombreux points faibles. Tout d'abord, elle n'est pas autonome. Il y a l'armée de Terre et la Marine qui ont chacune une aviation de combat. Toujours en compétition entre elles, une grande partie des efforts produits sont ainsi gâches à reproduire, en mieux, ce que « l'autre » produit. La formation des pilotes est un autre point faible. Si les pilotes de 1940 sont parmi les meilleurs, c'est le fruit d'une longue et dure formation après une sélection impitoyable. Après les premières pertes, les Japonais seront incapables de former de nouvelles promotion de pilote et d'équipage de guerre. Mais plus que les pilotes, ce sont les mécaniciens et les spécialistes qui vont cruellement manquer tout au long du conflit. Les techniciens sont mal considérés et en bénéficient pas d'effort de formation. Ils ne pourront pas être remplacés au fur et à mesure des pertes au combat. Pire, ils seront souvent sacrifiés dans des assauts suicides inutiles à partir de 1943. Au combat les Japonais sont agressifs et volontaires, mais leur formation est basée à outrance sur les seuls phases de combat. Les autres aspects du pilotage de guerre comme la navigation, la gestion des domaines de vol, l'identification etc sont à peine abordées. De fait de nombreuses erreurs seront produites, et certaines se paieront cher. C'est surtout la discipline de vol qui fait défaut. Si les USA et les Anglais vont vite s'organiser pour obtenir de puissantes unités capable d’interagir entre elles, les Japonais sont des individualistes forcenés.
Comme les Américains, les Japonais produisent de bons moteurs en étoile, mais n'arriveront à produire des moteurs en ligne correct. Mais contrairement aux USA, les Japonais n'arrivent pas à produire des turbo compresseurs pour la haute altitude. Tout d'abord les Japonais prônent une offensive à outrance qui va leur permettre d'imposer leurs tactiques de vol. Ce qui n'a pas d'incidence sur les combats. Mais lorsque les Américains vont passer à l'offensive, les japonais ne disposeront plus des moyens de les contrer.
Le dernier et peut être le plus important aspect est le pétrole. Les japonais ne disposent pas de ressource de pétrole en propre. Ce qui va fortement impacter leurs capacité de combat tout au long de la guerre. Outre les problèmes au front, cela va limiter les formations et l’entraînement des nouvelles unités. Pire, le kérosène fourni aux aviations est de mauvaise qualité. Cela entraîne des pannes moteurs, des performances plus mauvaises en vol…
Les appareils Japonais sont rustiques et bien conçus. Souple, très manœuvrables, ils manquent de puissance de feu. Mais surtout, ils manquent totalement de défenses passives. Avec un kérosène « pourri », les moteurs manquent de puissance pour pouvoir embarquer du blindage, des systèmes redondant et des extincteurs. Tous ces manques font des engins japonais des appareils particulièrement vulnérables lorsqu'ils sont touchés. Au début du conflit, les principales pertes Japonaises ne sont pas des appareils abattus au combat, mais des appareils endommagés qui seront incapables de rentrer à leur base.
Le dernier aspect et peut être le plus important est l'échelle de production. Là ou les USA et les Anglais produisent des milliers de chasseurs et de bombardiers, les Japonais produisent des séries de quelques centaines d'appareils seulement…




Mitsubishi G3M
1937-1943
Le « Nell » est le bombardier léger qui a massacré les cuirassés anglais Répulse et Prince of Wales. Cette opération met fin à la puissance britannique dans le Pacifique. Créé dans le plus grand secret, le Nell se caractérise surtout par sa formidable autonomie. Les Japonais peuvent ainsi interdire aux Alliés de gigantesques zones autour de leur bases, sans avoir à mobiliser les unités de la flotte impériale. Ce qui permet à cette dernière de passer à l'offensive ailleurs. Cette doctrine, mise au point par l'amiral Yamamoto permit au Japon de conquérir un immense territoire en 6 mois. Dépassé techniquement, lesG3M furent utilisés comme appareil de transport (Nom de code Tina).

Vitesse maximum : 373 km/h à 4 180 m d'altitude
Altitude opérationnelle maximum : 9 130 m
Autonomie : 4380 km
Armement :
: 1 mitrailleuse 7,7mm dans le cockpit (défensive : Arc avant)
: 1 mitrailleuse 7,7 par côté (défensive : Arc latéral)
: 1 mitrailleuse 7,7 en tourelle dorsale avant (défensive : Arc avant et latéral)
: 1 canon de 20 mm en position dorsale arrière (défensive : Arc arrière)
: 800 kg de bombes ou une torpille


Nakajima Ki 43 Hayabusa
1940-1945
Chasseur de l'Armée de Terre, le Ki 43 fut une surprise amère pour les alliés. Produit à plus de 5 900 exemplaires, le Oscar connut son heure de gloire en Malaisie, à Sumatra et à Java. Rapide et Agile, il marqua le pas face aux appareils modernes des alliés. Malgré des améliorations constantes, son trop faible armement ne lui permettait plus d'abattre les appareils adverses. Il finit comme appareil suicide aux derniers jours de la guerre.

Ki 43 Ia
Vitesse maximum : 495 km/h à 4 000 m d'altitude
Altitude opérationnelle maximum : 11 750 m
Autonomie : 1200 km
Armement :
: 2 mitrailleuses 12,7mm // (En chasse : Arc avant)

Ki 43 11b
Vitesse maximum : 530 km/h à 4 000 m d'altitude
Altitude opérationnelle maximum : 11 200 m
Autonomie : 1760 km
Armement :
: 2 mitrailleuses 12,7mm // (En chasse : Arc avant)
: 500kg de bombes


Mitsubishi C5M
1940-1943
Le « Kamikaze » fut l'avion du raid Japon-Londre de 1937, il fut l'avion de reconnaissance standard de la marine la première moitié de la guerre. Il fut l'un des rares appareils à équiper la marine et l'armée de Terre nippone. Cette dernière l'utilisa aussi comme bombardier léger. Rapide, le Babs était presque impossible à intercepter par les alliés. Il fut relégué dans les tâches d'instruction et de liaison à partir de 1943.
Vitesse maximum : 487 km/h à 4 550 m d'altitude
Altitude opérationnelle maximum : 9 580 m
Autonomie : 1100 km
Armement :
: 1 mitrailleuse 7,7mm dorsale (défensive : Arcs latéraux)
: 250 kg de bombes




Mitsubishi Ki 51
1940-1945
Le Sonia semble une machine médiocre. Pourtant avec ses remarquables qualités de robustesse, de sûreté et de maniabilité, il fut le meilleur appareil de coopération et d'assaut japonais vers le sol.
Vitesse maximum : 424 km/h à 3 000 m d'altitude
Altitude opérationnelle maximum : 8 720 m
Autonomie : 1060 km
Armement :
: 2 mitrailleuses 12,7mm // (En chasse : Arc avant)
: 1 mitrailleuse 7,7mm dorsale (défensive : Arcs arrière)
: 200 kg de bombes



Mitsubishi A6M Reisen
1940-1945
Zeke, Zero… Cet appareil est à lui seul le symbole de la guerre du Pacifique. Ils furent présent sur tous les fronts jusqu'aux derniers jours. D'abord considéré comme invincibles, ils furent de plus en plus surclassés par les machines alliées. Machine extrêmement maniable, le Zéro reçu des moteurs plus puissant et un meilleur armement dès 1943. Le A6M5 gommaient les principaux défaut des Zéro (structure et armement renforcé principalement). Mais non seulement les appareils alliés avaient évolué, mais le soutien, les tactiques et la formation des équipages alliés leurs donnait un avantage incroyable. La dernière version le A6M8 tenta de défendre le territoire japonais des raids alliés en pure perte. Le Zeke fut l'appareil japonais construit en plus grand nombre (10 500 exemplaires environs). Il exista une version hydravion, le Rufe, construite à 320 exemplaires

Mitsubishi A6M2
Vitesse maximum : 573 km/h à 4 550 m d'altitude
Altitude opérationnelle maximum : 10 000 m
Autonomie : 3105 km
Armement :
: 2 canons de 20mm et 2 mitrailleuses 7,7mm // (En chasse : Arc avant)
: 60 kg de bombes

Mitsubishi A6M5
Vitesse maximum : 564 km/h à 6 000 m d'altitude
Altitude opérationnelle maximum : 11 740 m
Autonomie : 3105 km
Armement :
: 2 canons de 20mm et 2 mitrailleuses 7,7mm // (En chasse : Arc avant)
1 mitrailleuse de 7,7 de capot était parfois remplacée par une 13,2mm.
: 60 kg de bombes
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Droopy
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MessageSujet: Re: Principaux appareils de combat Japonais lors de la seconde guerre mondiale   Principaux appareils de combat Japonais lors de la seconde guerre mondiale EmptyMer 6 Juil - 19:08

Aichi D3A
Le Val est l'équivalent japonais du Stuka pour les Allemands. Il se fit connaître au-dessus de Pearl Harbor et il parvint à couler la plus grande quantité de navires alliés.
D'allure désuet, il servit en première ligne jusqu’en 1943. A partir de cette date, il servit sur des fronts secondaires ou à l'instruction. Utilisé lors des attaques kamikaze, il est un des rares appareils à pouvoir fortement endommager les navires lors de ses rapides piqué.

Vitesse maximum : 386 km/h à 3 000 m d'altitude
Altitude opérationnelle maximum : 9 300 m
Autonomie : 1472 km
Armement :
: 2 mitrailleuses 7,7mm // (En chasse : Arc avant)
: 1 mitrailleuse 7,7mm dorsale (défensive : Arc arrière)
: 370 kg de bombes


Nakajima B5N
1940-1943
Les Kate comptent parmis les meilleurs torpilleurs du conflit. Il servit dans le Pacifique jusqu'à son remplacement par le Tenzan (Nakajima B6N). En Chine, il fut un honnête bombardier léger. Vulnérable face à la chasse, il est petit à petit relegué sur les fronts secondaires. A la fin de la guerre, les Kate sont relegués à l'instruction ou à la guerre ASM (Anti sous marin) avec l'installation à son bord de détecteurs magnétiques

Vitesse maximum : 378 km/h à 3 600 m d'altitude
Altitude opérationnelle maximum : 8 260 m
Autonomie : 2 000 km
Armement :
: 1 mitrailleuse 7,7mm dorsale (défensive : Arc arrière)
: 800 kg de bombes ou une torpille



Mitsubishi G4M
1941-1945
Ce fut l'appareil qui remplaça le G3M. Mais alors la doctrine défensive nippone était rendue obsolète par les flottes de portes-avions US. Les Betty ont été surnommés les « cigares volants ». Cette réputation est due à l'absence totale de protection sur cet appareil. Pourtant, cet appareil a de grandes qualités et surtout une autonomie exceptionnelle. Il aurait suffi de sacrifier un peu son autonomie pour en faire un engin extraordinaire.

Mitsubishi G4M
Vitesse maximum : 428 km/h à 4 200 m d'altitude
Altitude opérationnelle maximum : 8 840 m
Autonomie : 6030 km
Armement :
: 1 mitrailleuse 7,7mm de nez ( défensive : Arc avant)
: 1 mitrailleuse 7,7mm dorsale (défensive : Arc arrière)
: 1 mitrailleuse 7,7mm par côté (défensive : Arc latéral)
: 1 canon de 20mm en position arrière (défensive : Arc arrière)
: 800 kg de bombes ou une torpille

Mitsubishi Ki 21
1941-1945
Le troisième bombardier moyen japonais et sans doute le moins connu. Dans l'absolu, cet appareil constitue un remarque exemple de moyens gâchés alors que cette firme produisait déjà des bombardiers pour la marine. Mais l'armée de Terre voulait SON bombardier. Il combattit d'abord au-dessus de la Thailande, de Burma et de la Malaisie puis sur tous les théâtres d'opération de l'armée de Terre. Cheval de trait de l'armée de Terre, il fut peu à peu dominé par ses ennemis. Pourtant il combattit jusqu'au dernier jour.

Mitsubishi KI 21 IIb
Vitesse maximum : 486 km/h à 4 720 m d'altitude
Altitude opérationnelle maximum : 10 000 m
Autonomie : 2700 km
Armement :
: 1 mitrailleuse 7,7mm de nez ( défensive : Arc avant)
: 1 mitrailleuse 7,7mm dorsale (défensive : Arc arrière)
: 1 mitrailleuse 7,7mm ventrale (défensive : Arc arrière)
: 1 mitrailleuse 7,7mm par côté (derrière les ailes) (défensive : Arc latéral)
: 1000 kg de bombes ou une torpille

Les dernières exemplaires volants ont vu l'armement porté de mitrailleuses légère à des mitrailleuses lourdes (12,7mm). Mais pas de manière uniforme.


Mitsubishi Ki 46
1941-1946
A la fin de la guerre, un deux prototypes ont effectué un vol de 2300 à la vitesse moyenne de 700km (sans doute aidé par un fort vent arrière). Tout au long de la carrière, le Dinah fut un exceptionnel appareil de reconnaissance et une forte source d'agacement pour les alliés. Volant haut et vite, ils étaient extrêmement difficiles à intercepter même avec un guidage radar.

Vitesse maximum : 604 km/h à 5 800 m d'altitude
Altitude opérationnelle maximum : 10 720 m
Autonomie : 2474 km
Armement :
: 1 mitrailleuse 7,7mm dorsale (défensive : Arc arrière)

Une version chasse de nuit fut produite, le KI 46 III, mais sa faible vitesse ascensionnelle en limitait l'intérêt. On décida d'en faire une version d'assaut.

Armement :
: 2 canons de 20mm (En chasse  : Arc avant)
: 1 canon de 37mm oblique (en musique de jazz comme les Allemands)
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Droopy
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MessageSujet: Re: Principaux appareils de combat Japonais lors de la seconde guerre mondiale   Principaux appareils de combat Japonais lors de la seconde guerre mondiale EmptyJeu 7 Juil - 14:38

Kawanishi N1K1 Shiden
1943-1945
Cet excellent appareil est en fait un dérivé d'un hydravion : le N1K1. Mais si les performances étaient là, la structure, trop complexe, se revela un véritable cauchemar lors de la mise au point et de la production. Puissant, rapide, bien protégé et correctement armé. Ils se sont montré l'égal des meilleurs chasseurs alliés. En fevrier 1945, le Lt Kinsuke Muto affronta 12 Hellcat, il en abatti quatre et obligea les autres à fuir !

Kawanishi N1K1-J
Vitesse maximum : 584 km/h à 5 900 m d'altitude
Altitude opérationnelle maximum : 12 500 m
Autonomie : 2540 km
Armement :
: 4 canons de 20mm // (En chasse : Arc avant) sur les premiers exemplaires 2 mitrailleuses 7,7mm de capots en plus en chasse.
: 120 kg de bombes

Kawanishi N1K2-J Shiden Kai
Vitesse maximum : 594 km/h à 5 600 m d'altitude
Altitude opérationnelle maximum : 10 760 m
Autonomie : 2400 km
Armement :
: 4 canons de 20mm // (En chasse : Arc avant)
: 500 kg de bombes


Kawasaki ki 61 Hien
1943-1945
Seul appareil de combat japonais avec un moteur en ligne, il utilisait une copie du Daimler Benz DB 601 A allemand. Mais les problèmes avec ce moteur ont toujours représenté une forte gène pour l'armée de Terre. Il est néanmoins maintenu en ligne, car c'est le seul intercepteur capable de s'opposer avec une certaine efficacité aux superforteresse US.

Vitesse maximum : 592 km/h à 4 860 m d'altitude
Altitude opérationnelle maximum : 11 600 m
Autonomie : 1100 km
Armement :
I : 2 mitrailleuses 12,7mm et 2 mitrailleuses de 7,7mm // (En chasse : Arc avant)
Ib : 4 mitrailleuses 12,7mm // (En chasse : Arc avant)
Ic et version KAI : 2 mitrailleuses de 12,7mm et 2 canons de 20mm // (En chasse : Arc avant)

Les canons du Ki61 sont des mauser importé par sous marin depuis l'Allemagne, moins larges, ils peuvent être installés dans des ailes minces. Mais surtout, il bénéficient d'une meilleure portée.


Nakajima KI 84 Hayate
1943-1945
C'est peut être le meilleur avion de chasse japonais de la seconde guerre mondiale. Produit en urgence sous les bombardements alliés, il manqua surtout de pilote capable de le mener avec succès au combat. Les alliés l'appelait Frank.

Vitesse maximum : 631 km/h à 6 120 m d'altitude
Altitude opérationnelle maximum : 10 500 m
Autonomie : 1695 km
Armement :
: 2 canons de 20mm et mitrailleuses 12,7mm // (En chasse : Arc avant)
: 500 kg de bombes
Kawanashi H8K
1943-1945
Emily était caractérisé par son puissant armement défensif. Les pilotes alliés l'ont surnommé « Porc Epic ». Doté d'une grande autonomie, d'une bonne vitesse et de bonnes caractéristiques de vol, il devint l'instrument de reconnaissance privilégié par la marine impériale. Les 167 exemplaires produits posèrent d'énormes problèmes aux alliés. Leur première action fut le bombardement des îles Oahu depuis les îles Marshall faute de pouvoir bombarder Pearl Harbor à cause de la météo en mars 1942 (opération K).
Vitesse maximum : 466 km/h à 5 000 m d'altitude
Altitude opérationnelle maximum : 8 850 m
Autonomie : 7150 km
Armement :
: 1 canon de 20mm en tourelle de nez ( défensive : Arc avant)
: 1 canon de 20mm en tourelle dorsale (défensive : 360°)
: 1 canon de 20mm en tourelle arrière ( défensive : Arc arrière et latéral)
: 1 canon de 20mm en sabord par côté ( défensive : Arc latéral)
: 5 mitrailleuses 7,7mm en sabord (défensive : Arc latéral)
: 2000 kg de bombes ou deux torpilles ou 16 charges ASM



Mitsubishi J2M Raiden
1943-1945
Intercepteur orienté spécifiquement sur la vitesse, le Raiden abandonnait la maniabilité au profit de la vitesse et d'une excellente défense passive. Si l'appareil est prometteur, il ne sera jamais réellement mis au point. Son moteur fut toujours fragile et se révéla être son talon d’Achille.

Vitesse maximum : 587 km/h à 5 300 m d'altitude
Altitude opérationnelle maximum : 11 700 m
Autonomie : 1900 km
Armement :
: 4 canons de 20mm // (En chasse : Arc avant)
: 120 kg de bombes


Nakajima B6N Tenzan
1943-1945
Le Jill fut un excellent torpilleur. Mais, alors que les prototypes étaient en phase de test en 1941, il ne put être mis en ligne qu'à la fin de 1943. A cette période, il n'y avait plus d'équipage nippon capable d'utiliser les qualités de cet engin pour frapper la flotte alliée.
Tout comme autres les appareils nippon étudié avant la guerre du Pacifique, le B5N n'avait pas de protection passive. Ses réservoirs, en particuliers n'étaient pas auto-obturant. Ce qui provoqua de très lourde pertes au combat.
Vitesse maximum : 481 km/h à 4 900 m d'altitude
Altitude opérationnelle maximum : 9 040 m
Autonomie : 3050 km
Armement :
: 1 (ou deux) mitrailleuse (s) 7,7mm (En chasse : Arc avant)
: 1 mitrailleuse 7,7mm dorsale (En chasse : Arc Arrière)
: 800 kg de bombes ou 1 torpille


Nakajima Ki 44 Shoki
1943-1944
Tout comme le Raiden, l'Armée de Terre demanda un intercepteur basé sur la vitesse horizontale et ascensionnelle et non l'autonomie et la maniabilité. Il en résultat un excellent intercepteur, le « Tojo ». D'abord détesté par ses pilotes pour son manque de maniabilité, il montra ses qualités face aux bombardiers US. Entre 1942 et 1944, le Japon produisit 1225 exemplaires de cet appareil qui servirent à la défense du territoire contre les raids massifs US. Mais les japonais n'étaient pas suffisement nombreux contre les centaines de B29 qui survolaient leurs territoires. En novembre 1944, une unité spéciale fut composée à partir de pilotes prêts à éperonner en vol les B29.

Vitesse maximum : 605 km/h à 5 200 m d'altitude
Altitude opérationnelle maximum : 11 200 m
Autonomie : 1700 km
Armement :
I et IIa : 2 mitrailleuses de 12,7mm et 2 mitrailleuses de 7,7 mm// (En chasse : Arc avant)
IIb : 2 mitrailleuses de 12,7mm // (En chasse : Arc avant)
Certains exemplaires ont été équipé d'un canon HO301 de 40mm à obus propulsif. Très faible cadence de tir, visée délicate du à une vitesse initiale faible (donc courte portée seulement) … et parfois des dégâts dû aux jets propulsifs sur les ailes.
IIc (version la plus utilisée) : 4 mitrailleuses de 12,7mm // (En chasse : Arc avant)


Yokosuka P1Y1 Ginga
1945
Machine moderne, rapide, puissamment armée et dotée d'une formidable autonomie, le « Frances » était capable de contourner toutes les défenses alliées pour frapper leurs centres logistiques arrière. Ce fut un cauchemar pour les alliées lors de la dernière année du conflit. Les ennuis continuels de ses moteurs et le manque d'équipages en limitèrent l'usage opérationnel. Mais surtout l’État-major nippon ne sut pas saisir les opportunités stratégiques que leur offrait les performances de cet appareil.

Vitesse maximum : 547 km/h à 5 900 m d'altitude
Altitude opérationnelle maximum : 9 400 m
Autonomie : 5300 km
Armement :
: 1 canon de 20 mm// (défensif : Arc avant)
: 1 mitrailleuse de 12,7mm // (Défensive: Arc arrière)
: 1 000 kg de bombes ou 1 torpille


Yokosuka MXY7 Ohka
1945
Le 1er avril 1945, un kamikaze d'un genre nouveau endommageait le Virginia. Avion fusée suicide piloté. Le Ohka était largué d'un G4M pour attaquer la flotte alliée en forçant la DCA adverse grâce à sa vitesse. Engin tactique redoutable, il montrait surtout les faiblesses des forces nippones qui étaient obligées de recourir à de tels extrémités pour tenter de forcer les alliés à négocier… en vain.
Vitesse maximum : 547 km/h à 3 500 m d'altitude pour 926km/h au point d'impact
Autonomie : 37 km
Armement :
: 1 200 kg d'explosif

Kawasiki Ki 100
Version à moteur en étoile du Ki61, il s'agit d'un expédient réalisé dans l'urgence. De nombreuses cellules de Hien étant disponible faute de moteurs Daimler, on adapta la cellule aux moteurs Mitsubishi Ha 112 de 1500cv dont de nombreux exemplaires étaient disponibles. A la surprise générale, ce fut une réussite. Les 396 exemplaires improvisés eurent un emploi intense contre les formations de bombardiers japonais. C'est le seul engin japonais qui n'eut pas de nom code US.

Vitesse maximum : 570 km/h à 6 000 m d'altitude
Altitude opérationnelle maximum : 11 000 m
Autonomie : 1800 km
Armement :
: 2 canons de 20 mm et 2 mitrailleuses de 12,7mm // (En chasse: Arc avant)
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